Nous y voilà. Rio, la capitale informelle du Brésil, le pays de la samba, du kéké bronzé en maillot à Copacabana, et... notre toute dernière étape avant l'Europe.
Nous n'y avons passé que deux jours à peine, bien trop peu pour cerner cette ville immense qui s'étend entre pains de sucre couverts de jungle et plage de sable blanc.
Nous n'y avons passé que deux jours à peine, bien trop peu pour cerner cette ville immense qui s'étend entre pains de sucre couverts de jungle et plage de sable blanc.
Bien sûr, il fallait sacrifier à un tour jusqu'au sommet du Corcovado, et un autre jusqu'à la plage de Copacabana. Ok pour l'aspect paradisiaque de cette ville à la plage qui a fait chanter tous les Dario Moreno de la planète.
Mais derrière, il y a pêle-mêle les avenues gorgées de voitures, les favelas qui s'accrochent en grappes aux pentes des collines, les délicieux jus de fruits achetés dans la rue et les gardes municipaux armés de M-16. Un monde qu'on n'a vu que trop rapidement, ou depuis les vitres sales du bus pour l'aéroport.
La ville semble garder tout à la fois un peu de son orgueil de capitale de l'empire portugais (à la place de Lisbonne, quoique brièvement), son charme luxueux des années 50, sa vitalité, sa pauvreté et sa violence. Nous n'avons qu'entre-aperçu Rio et ses extrêmes, mais l'endroit donne envie de revenir.
Retour en France. Avant de redevenir français pour de bon, nous gardons un peu de l'ambiance des voyages en flânant au milieu des touristes, par un jour d'automne à Paris.
La boucle est bouclée. Quand est-ce qu'on repart, au fait ?